Wild Law If I say « run », don't ask : run ! | always and forver, araliz and glacy |
| | Terres Humaines - Autour d'Orlik | | Sujets | Messages | Derniers Messages |
---|
| A bandonnée et laissée seule et inoccupée pendant une bonne partie de l'année, cette cabane sert d'habitation saisonière pour les rares pécheurs ou trappeurs qui tentent d'attrapper quelques maigres proies. Unique trace de la présence humaine au bord de la rive du Lac Baïkal, le cabanon est entouré par une épaisse forêt de sapins dont la lisière s'arrêter à quelques pas du bassin. Les Solitaires s'aventurent souvent dans cet endroit, sauf quand les humains sont présents, car les alentours du lacs restent giboyeux et le couvert des arbres offrent un atout pour les éventuels chasseurs.
| 0 | 0 | | | E vitée par les Solitaires et tout autant par les guerriers d'Ienisseï et d'Irtych, la route de bitume reste dangereuse et parfois mortelle pour les loups et les chiens. Construction de l'homme et souvent empruntée par les camions et les voitures en raison du fait qu'elle est l'une des rares routes qui ménent à la ville d'Orlik, la route n'attire aucun guerriers. Les alentours sont peu giboyeux, en raison des étendues glacées et désertes, sans végétation et la circulation, malgré peu dense, peu tuer un Solitaire en quelques secondes. Les chiots et les louveteaux sont défendus de s'en approcher tant la peur d'un accident est palpable.
| 0 | 0 | | | R eculé de tout, ce petit paté de maisons construites en rondins n'est occupé que par des trappeurs ou des chasseurs. Loin et isolé de toute présence humaine extérieur, le seul moyen de se rendre à la ville d'Orlik est d'emprunter un petit chemin de terre qui conduit les véhicules à la grande route de bitume. Un élevage de rennes justifie la construction de la plupart des cabanons rustiques et rudimentaires, et certains guerriers et Solitaires n'hésitent pas, au plus profond de la nuit, à entrer dans les enclos et à tuer et à abattre un jeune ou malade renne. Méfiance tout de même aux éleveurs qui redoublent de surveillance et d'efforts pour éviter que les Solitaires ne s'attaquent à ces proies faciles et aux chiens, qui n'hésitent pas à mordre et à combattre sous les ordres de leurs maîtres.
| 0 | 0 | | | L' unique et seul carrefour que peut compter la civilisation de la ville d'Orlik. Trois chemins partent dans des directions opposés et l'intersection est le point de base de la présence humaine dans ces bas plateaux sibériens. Le premier chemin mène directement au coeur de la ville d'Orlik et est souvent emprunté par les camions venus ralier cette bourgade perdue et isolée au reste du monde. Un autre chemin mène à un petit hameau, constitué pour presque tout dire, d'un vaste élevage de rennes. Quand au dernier chemin, il ne mène presque nulle part, d'un sentier poussièreux et déformé par les pierres qui se dirigent vers une grande forêt de sapins mais qui n'est utilisé que par les trappeurs venus couper leur bois.
| 0 | 0 | | | U nique marque de civilisation humaine dans ce pays de neige et de glace, la ville d'Orlik compte pourtant quelques 2000 habitants. Cabanons et maisonettes de bois cotoient des résidences de pierre et de bétons, et les principaux commerces de la ville ne sont que le srict minimum vital : épicerie, bar-restaurent-hôtel et quincaillerie. La plupart des habitants sont des éleveurs de rennes, des nomades venus se reposer le temps d'un voyage ou des amoureux de nature venus à la recherche de calme et de sérénitée. La ville n'en est rien touristique est semble figée à une époque qui parait bien loin de la civilisation occidentale. Evitée par les Solitaires, les plus affamés n'hésitent pas à y pénétrer, avides de nourriture facile.
| 0 | 0 | |
| Nouveaux messages | | | Pas de nouveaux messages | | | Forum Verrouillé |
| |
|